sur le Mont Takao
高尾山
Un guide nous a retrouvés après le déjeuner, pour aller faire une ballade au Mont Takao.
Nous sommes montés en télésiège puis à pied. Il y avait beaucoup d’escaliers.
On a traversé plein de temples de toutes les couleurs puis on a mangé une soupe de nouilles au sommet (à 599m).
En redescendant, nous avons croisé des gens qui promenaient un furet en laisse, et on a pris le funiculaire.
Daïsuké nous a ramenés à notre hôtel, on a bu un dernier café et un grapefruit ensemble. Dans le bar il y avait une cascade de chocolat où on pouvait tremper des marshmallows.
Nous avons profité de Daïsuké – natif de Tokyo – pour faire le plein d’explications sur notre visite, d’anecdotes et de précisions linguistiques.
Le Mont Takao est un haut lieu du pèlerinage shintō et bouddhiste (c’est d’ailleurs l’un des seuls lieu où les deux courants se rejoignent presque totalement), doté de trois étoiles au Michelin, ce qui impose désormais une propreté drastique ! Chacun reprend avec lui ses déchets. Il est constellé de statues : Kūkai, fondateur de l’école bouddhique Shingon, Jizo, protecteur des âmes défuntes des enfants, et les tengû, créatures protectrices de la montagne tantôt représentées par un visage humain dont le nez est excessivement long, tantôt en karasu tangû à bec de rapace.
Le parcours vers le sommet passe par un enchevêtrement de temples, d’autels, de sanctuaires et d’icônes votives. On peut prier pour tout ! Malheureusement, le lieu est envahi petit à petit de vendeurs de bric-à-brac et perd de sa majesté.
Arrivés à l’esplanade qui coiffe la montagne, l’air épais nous a privés de la vue sur le Fujisan et de l’ouest de Tokyo. Les sakura plus tardifs n’étaient pas éclos. Les écureuils volants nocturnes n’étaient pas de sortie. En revanche, un couple promenant un furet nous a offert le spectacle, et a rythmé la descente de Jade vers le funiculaire.
A noter, une spécialité culinaire du lieu : les tororo soba (nouilles de sarrasin servies avec une mousse d’igname) préparés à l’origine pour redonner de l’énergie aux moines.
Un guide nous a retrouvés après le déjeuner, pour aller faire une ballade au Mont Takao.
Nous sommes montés en télésiège puis à pied. Il y avait beaucoup d’escaliers.
On a traversé plein de temples de toutes les couleurs puis on a mangé une soupe de nouilles au sommet (à 599m).
En redescendant, nous avons croisé des gens qui promenaient un furet en laisse, et on a pris le funiculaire.
Daïsuké nous a ramenés à notre hôtel, on a bu un dernier café et un grapefruit ensemble. Dans le bar il y avait une cascade de chocolat où on pouvait tremper des marshmallows.
Nous avons profité de Daïsuké – natif de Tokyo – pour faire le plein d’explications sur notre visite, d’anecdotes et de précisions linguistiques.
Le Mont Takao est un haut lieu du pèlerinage shintō et bouddhiste (c’est d’ailleurs l’un des seuls lieu où les deux courants se rejoignent presque totalement), doté de trois étoiles au Michelin, ce qui impose désormais une propreté drastique ! Chacun reprend avec lui ses déchets. Il est constellé de statues : Kūkai, fondateur de l’école bouddhique Shingon, Jizo, protecteur des âmes défuntes des enfants, et les tengû, créatures protectrices de la montagne tantôt représentées par un visage humain dont le nez est excessivement long, tantôt en karasu tangû à bec de rapace.
Le parcours vers le sommet passe par un enchevêtrement de temples, d’autels, de sanctuaires et d’icônes votives. On peut prier pour tout ! Malheureusement, le lieu est envahi petit à petit de vendeurs de bric-à-brac et perd de sa majesté.
Arrivés à l’esplanade qui coiffe la montagne, l’air épais nous a privés de la vue sur le Fujisan et de l’ouest de Tokyo. Les sakura plus tardifs n’étaient pas éclos. Les écureuils volants nocturnes n’étaient pas de sortie. En revanche, un couple promenant un furet nous a offert le spectacle, et a rythmé la descente de Jade vers le funiculaire.
A noter, une spécialité culinaire du lieu : les tororo soba (nouilles de sarrasin servies avec une mousse d’igname) préparés à l’origine pour redonner de l’énergie aux moines.